Les universités canadiennes ont un rôle important à jouer pour faire progresser la vérité et la réconciliation. En ce Mois national de l’histoire autochtone, découvrez ce que font les universités pour reconnaître et enseigner les histoires autochtones, ainsi que pour les intégrer à leurs activités.
Nous sommes unis et connectés, et il est vital de travailler ensemble pour parvenir à la réconciliation.
Voilà l’un des messages du nouveau Centre national pour la vérité et la réconciliation (CNVR), qui a été établi à la University of Manitoba en raison de l’engagement ferme de l’établissement à l’égard de la recherche sur les droits de la personne.
Le CNVR a pour mandat de poursuivre le travail amorcé par la Commission de vérité et réconciliation du Canada en servant de gardien des expériences vécues par les survivantes et survivants des pensionnats autochtones ainsi qu’en effectuant des travaux de recherche qui contribuent au processus de guérison, à l’éducation et à la compréhension.
Au cœur du CNVR se trouvent les archives — des documents, photos et témoignages d’expériences vécues par des survivantes et survivants —, qui y sont protégées, préservées, étudiées et rendues publiques dans le respect. Ces archives sont essentielles pour faire progresser la vérité et la réconciliation, décoloniser l’histoire en trouvant des sépultures anonymes et en répertoriant les pensionnats autochtones, élaborer des ressources éducatives et présenter des expositions physiques et virtuelles.
Pour en apprendre davantage au sujet du mandat et de la vision du CNVR, consultez son site Web.
Le nom spirituel du CNVR, Bezhig miigwan, signifie « une plume ».